Trouver sa posture… dans la pratique, comme sur le chemin

En shiatsu, on apprend vite que donner ne se fait pas n’importe comment. Il ne s’agit pas de s’imposer, ni de s’effacer. Il ne s’agit pas non plus de forcer, ni de s'effondrer. Il faut trouver la bonne posture : celle qui est à la fois stable, fluide, ancrée… mais sans crispation.

Un juste milieu entre tenue et lâcher-prise.

Et ça ne vient pas en un jour.

Curieusement, c’est la même chose quand on cherche la bonne école de shiatsu. On explore, on tâtonne, on se questionne. On écoute, on observe, on ressent. On cherche un lieu, un cadre, une approche qui résonne — pas seulement dans la tête, mais dans le corps, dans le cœur.

Dans les deux cas, il faut du temps, de l’ajustement, parfois des détours. Mais peu à peu, une évidence se construit. Et un jour, on sent qu’on est "à la bonne place". Dans son axe, prêt à recevoir… et à transmettre.

Alors que ce soit sur le futon ou sur le chemin de la formation, chaque pas compte. Chaque déséquilibre enseigne. Chaque recherche affine notre posture, intérieure et extérieure.